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Contorsionniste
Je me lace
Me plie
Me mêle
Je les délasse
Les nourrit
Les révèle
Je suis
Contorsionniste
Je me lasse
Me déplie
M'emmêle
On se passe
Dévie
Grommelle
Je suis
Contorsionniste
Je m' entrelasse
Me replie
M'entremêle
Ils contre-passent
Me fuient
Me démantèlent
Je suis
Contorsionniste
Et pourtant
Mon coeur bat encore
Je suis
Contorsionniste
V. Sergent
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Abat jour en papier
Tiges en fer forgé
Couleur acrylique
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socle et support d'abat jour en fer forgé.
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Tige en fer forgé.... VENDUE |
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Lampes d'ambiance LED Cliquez sur chaque vignette pour différents effets fonction plein écran et diaporama
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Les farceuses de minuit.... |
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Déséquilibres...Pleine Lune des rapaces et vers de TERRE |
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Double Je Pas besoin d'horizon! Je chausse mes oeillères C'est maintenant! encore moins demain qu'hier La fougue me pousse vers un seul point fixe - je fonce Mes jambes foulant l'air passent des champs de ronces Indolores, aux épines acérées qui saignent Mes veines de non-dits refoulés qui m'étreignent Comme le somnanbule, je ne crains pas le vide Libre de toute atteinte, je sens à peine la bride Fouettant ma tempe de sons lourds et inquiétants Qui me rappellent les tics tacs durs et lancinants Des aiguilles dansantes sur l'horloge qui sonne Le ton d'une voix qui m'appelle et me raisonne La paresse et la peur d'affronter tes douleurs Attisent ton orgueil à renier ses erreurs Ils laissent couler de toi les flots amers De regrets, écrits sur des notes de colère T'entraînant de souffrance vers les tourbillons Stériles qui t'aspirent vers les fleuves sans fonds Cette force te poussant au-delà de ton corps Celle qui t'abandonne seul aux coups du sort Pour t'offrir l'illusion d'une toute puissance Te leste, aux prises de la triste jouissance Du fantasme assouvi comptant les cadences De ton coeur qui bat et appelle la conscience Elle guide mes pas à l'intérieur de moi. Qui est cet autre, cette présence, cette voix? Elle freine ma course vive pour éclairer Mes yeux de nouveaux horizons vastes, colorés. Elle est le coeur, je suis le corps, nous sommes deux Nous ne formons qu'un être, il s'appelle Double Je Ensemble, nous allons vers divers horizons C'est aujourd'hui, ou demain, à l'unisson Mon être se rejoint dans le bel artifice Du coeur menant le corps vers des champs de lys Indolores, aux pétales soyeux qui parfument Mes veines de non-dits libérés qui s'enfument V. Sergent
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Envol Etrange sentiment de vide Requiem sans refrain et aride Si l'on n'accorde plus à l'air Ses notes mélodieuses et claires Aubades symphoniques qui nous réveillent D'une nuit sombre pour un vermeil D'horizons neufs, ciels où l'on vole Comme cet oiseau perdu, qui chante puis s'envole Ici, ailleurs Mais toujours quelque part Survoler des déserts de brouillard Planer sur des îlots de couleurs S'y poser, il n'est jamais trop tard Léviter de bonheur Ici, ailleurs, Mais toujours quelque part Magie du matin jusqu'au soir Un musicien, un concerto d'espoir Jouant sur les cordes douces d'un violon Quatre sonnets de vie, un cycle de saisons Un hiver qui s'achève en rameaux de printemps Bourgeons parés de nouveaux instruments Clés de soleil, ciels d'optimisme vers où l'on vole Comme cet oiseau, qui lisse son piano de plumes puis s'envole Ici, ailleurs Mais toujours quelque part Survoler des déserts de brouillard Planer sur des îlots de couleurs S'y poser, il n'est jamais trop tard Léviter de bonheur Ici, ailleurs Mais toujours quelque part. V. Sergent
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Voile en écorces de bouleau
Cordage en fil d'agave
Peinture à l'huile
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Bateau visible des deux côtés. La voile n'a pas la même couleur (écorce de bouleau). Les dessins du bateau sont différents. |
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Le bateau fantôme La foudre bleue de cet orage Aspire le lien de mes ancrages Les yeux et sens en plein ravage Je plonge nue vers son sillage L'océan chaud m'enlace, je nage Vers ces voiles ocres, sauvages Qui me rejoignent, me présagent La tendre étreinte de leurs cordages De nos abysses se dégagent Douces invites à un voyage Nue et libre d'interdits sages Mon corps balance dans ses maillages La houle se lève loin du rivage Le froid me brûle, me propage Le navire tangue et se dégage Un autre ciel lui fait ombrage La proue s'embrume le vent rage Coque meurtrie d'anciens dommages Parant ses plaies à l'abordage Le bateau vire et prend le large Un nouveau jour sur une plage Il trouvera dans les branchages Les filins blonds de ses bandages Restes vivants de son naufrage. V. Sergent
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Voile en écorces de bananiers
Mât en bambou
Fils d'Agave
Peinture à l'huile (boucliers)
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Voiles en écorces de Kolkwitzia Amabilis....Cordage en fil d'Agave...
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voiles en écorce d'eucalyptus
Vendu |
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voiles en tissus....vendu |
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couleur : pigments fixés sur la cire...vendue |
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Sculpture murale....vendue |
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couleur en acrylique + cire
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Bougeoirs/ Porte-encens/Porte crayons/Porte-plumes/Porte bijoux/
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bougies artisanales en cire d'abeille |
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Danse avec les mots Nourrie à l'encre de même couleur Que les reliques de larmes versées Une fraîche plume sans pudeur S'élance sur piste en papier. Ne craignant plus les mots Elle les invite à danser Elégante, et sur le même tempo Qu'une valse, elle les laisse glisser. Enfin ! Arrachée des solides maillons L'emprisonnant dans les coulisses Elle se donne à la pleine passion Des mots libres qui guérissent. Le temps a fait son oeuvre L'encre s'étale sans barrières Sans rien attendre et sans rancoeur La plume s'expose en pleine lumière. Digne, ne se déparant guère Elle se met juste à nu Devant l'objet qui fut naguère Un beau joyau auquel elle crût. V. Sergent
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Et bientôt de nouvelles pièces... Toutes mes créations ne figurent pas sur ce site. N' hésitez pas à me contacter.
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